En 2020, la Commission Européenne obligera les concessionnaires automobiles à construire leur véhicule selon les normes de 95 g par kilomètre de rejets de dioxyde de carbone.
A ce jour, un malus non négligeable de deux cents euros a déjà été mise en place. Pour un dégagement de C02 insignifiant accompagné d’une grande autonomie de trajet, une puissance maximale et une faible consommation, le moteur voiture hybride reste la meilleur solution.
Cette nouvelle technologie réside dans l’association d’un moteur thermique à celui d’un électrique. Par exemple, l’AUDI A6 Hybrid délivre la motorisation essence de 4 cylindres à 2 litres Turbo en injection directe de 211 Ch. combiné à 40 KW électrique de 55 Ch. Cette dernière se génère par un pack de batteries lithium-ion avec une boîte de vitesse 8 rapports à la transmission.
En fait, en dessous de 60 km/h la berline jouit uniquement du moteur voiture électrique avec une autonomie de 3 km. Une possibilité à 100 km/h de quelques minutes lui est offerte pour le même mode de propulsion. La puissance confortable dégagée par les batteries lithium-ion permet d’emprunter l’entrée d’un parking pentu sans coup férir. Ce profile moteur abouti atteint la faible consommation de 6 litres aux 100 kilomètres tant attendue. Les risques de pollution restent restreints pour ce genre de véhicule affichant 156 g de rejets CO2 par kilomètre. Grâce à un couple de 480 Nm, la performance de cette motorisation hybride se pose en technologie concurrentielle dont un avenir certain semble déjà envisagé.